Citrus aurantiifolia (Christm.) Swingle

mtT. Tyôzaburô Tanaka.
Révision of Ciiraieae.
Gitlms axirantifolia (Chri
FLANTAE BOGrGRIEN'SES EXSICOATAE
NOYAE YEL MINUS C0GNITAE
aactore
B.	P. G. Hochreutiner.
N°. 107,.,“ films a nuira Hassk. in Flora XXV
Beibl. II, 4.8 (1842); id Oat bog. ait 217 (1844); Miq.
FL L bat 1, II, 527,
Nous ne savons pas grand’ohose sur cette plante, sinon qu’elle est un
original de Hasskarl, cela est plus que probable. Main il nous est-impos-
sible de, nous prononcer sur la synonymie des nombreux Citrus du jardin
jSïi 3 raisons: 1« Parce que le genre ne prospère pas à Buitenzorg dont
le climat lui parait défavorable. 2e Parce que nous n’avons qu’une isib
Sïé minorité d’exemplaires dont nous connaissons les fruits et les fleurs.
§#, La complication et la variabilité sont si grandes dans ce genre qu’il
faudrait une étude approfondie des innombrables variétés cultivées aux
Indes néerlandaises pour pouvoir en débrouiller la systématique, Or Ift
temps nous manque. Nous nous contentons donc de donner les maté-
riaux dont nous disposons pour cette espèce de Hasskarl, G’est un arbuste
à tronc son vent couché à terre, ressemblant à un rhizome, et à branches
dressées s’élevant à 3 ou 4. m. Le iruit est subsphèrique, orangé et omhoné-
rugueux' à la base, mais verdâtre encore au sommet; F écorce s’en détache
facilement comme chez tes mandarines [G. rnbilis), mais la puipe est très
acide et même un peu amère. C'est en réalité un bigaradier (Subsp, *
¡p. amara L. Adô EagL Nat PJlf. III, 4, 198) pour la pulpe acre et pour
m feuilles très aromatiques, mais il se rattache étroitement au G. nobilis
Leur/ par ses fruits jaunes, rngùôux. par ses feuilles subcrénelées et par
ses pétioles dépourvus d’aile. Cette dernière en effet, est si peu indiquée
que 1’ expression de Hasskarl „petiolis subaïatis” nous semble une hyperbole.
Cultivé à Java.
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ed. Inst. bot. Buit.
Il Décembre 1904