Trachynia distachya (L.) Link
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Filed As
Poaceae
Trachynia distachya (L.) Link -
Identifiers
NY Barcode: 4283369
Occurrence ID: 91cf24e3-b841-4914-80ca-119966e1084a
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Feedback
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Kingdom
Plantae
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Division
Magnoliophyta
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Order
Poales
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Family
Poaceae
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All Determinations
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Location Notes
[Tropical Asia]
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Distribution
<£>imaged NEW YORK BOTANICAL GARDEN 04283369 04283369 Herbarium Florae Asiae Mediae itrli/T St tQfti ab Universitate Asiae Mediafe editum. Fasc. XXII. Julio a. 1934. . X 529 a, Trachynia distachya (L$ Link. Hort. Bot. Berol. I, p. 42c—1827.—Bromus dffîpchyos L. in Amoen. Àc^Â IV, p. 304—1759 —Festuca ciliaia Gouan. HôVt. Monsp., p. 48—1768.— rigida Roth. Cat. bot. II» p. 12—3800, non Kunth.—Triticum ciliatumï^r Fl. Franc. III, p._;6$—1805.'—Brachypodium distachyum PB. Ess. Agrostv p. 101—1812.—R. et Sch. Syst. veg. II, p. 741.—Griseb. in Ldb. FfT.^g^X IV. p. -346.T-Boiss. Fl. Or. V. p. 6fj7.—B. ciliatum PB., 1. c.., p. JÔlra 1812.—B. asperum R, et Sch., 1. c., p. 742—1817.—Bromus pentastamÿb% Tin. Pl. rar. Sic. pug. I, p. 4—Brachypodium megastachyum Bess ex R. et Sch. Syst. Mant. III, p. 651—;1827.—Trachynia "rigida. Link., l^c., p. 43—1827.—T. subtilis De Not. Ind. Sem. Hr. Lift*.—1812.—'TrUSÜfc subtile F. et M» Ind. Sem. hort. Petrop., p. 59—1845 —Brachypodium sflwffiy ' De Not. Prosp. Fl. Lig., p. 49—1846,-5. geniculatajn- C. Koch. in Linnaea XXÎ, p. 422—1848. Avduloy fait part (Bull. AppJ. Bot., Gen., a. Pl.-Breed. Suj>pl. 44, p." 244—^1931) de l’exceptionelle originalité du caryotype du J. distachya, ce qui" lui a permis d’assurer tout „à fait justement queN „b CAynae Br. djk stachÿum coHeTaHHê coBepiueHHO ocoôbro KapnoTnna c MopffiOAoni'tecKoft 060CO5AeHHOCTbK) TOBOpHT 3a CnpaBeA\HBOCTb BfalAeAeHHH BHAa B OCOÔblft p04w. Çhez le T. distàchya le nombre de chrorçiosômes d’après les recherches d’Âydulov est de 30 et ils sont variés, notamment de pair avec 22 très petits chromosomes il y en a 8 gros. Çhez le B- si 1 y ai te u qoeg^.— feSp%ce c^^togjqüeôem examinée du ^énr^ B r a cTh y p o di um, il y a 18 chromosomes, ' correspondant- à peu près .par -la grosseur à 4'gr^;fe çhromosomes^dti T. d i s t a c-h y a. D’une telle- façon nous ' avons même autre mïtftipleide chromosomes. Pour ¿“moi i*individualisation générique du T. distachya $|jpp ?/ % depuis longtemps indubitable. Comme différences génériques qui le ^îstm--lf guent du Brdchypodi u rit* il faut marquer les caractères suwànts: 1; un très court pédoncule des. è^üllets, ce due Link a déjà indiqué quand \\ écrivi^daîis la diagnose du B r a $ h y_ p ^cli û nfi^Spicuiae multif lorae, pedi cello brevi* (fc c., p. 38), et dans la diàgifése du Traxhynia: „Spitulae- ultra decemfiorae, pedicello brevissimo“ (L, c., p. 42); 2) la structure de l'inflorescence avèc un petit nombre d'épillets; 3) les épillets plus comprimés sur les côtés (ceux du Brachypoaium sont presque cylindriques); 4) l'inégale fragilité du rachis des épillets qui tombent, facilement sur les fleurs isolées dans la partie supérieure, mais à la partie inférieure pos sèdent le rachis tenace ou presque tenace; et 5) le Trachynia est une plante annuelle. Outre cela, entre les Trachy ia et Brachypodiu m il y a de la différence dans la structure des glumellules. Le Trachynia les a grosses longuement acuminées, seulement au sommet même un peu ciliées ou presque, glabres (quelques auteurs les indiquent glabres, mais ce n’est pas juste); le B r a c h yp odTü m ies a plus petites et plus courtement acuminées et à là partie supérieure densement et courtement ciliées. Link (1. c.) comme caractère générique indique encore la longueur desglumes par rap- port aux fleurs inférieures (les glumes du Trachynia selon Link, sont 3 plus longues que lés fleurs inférieures, celles du Brachypodium plus courtes), mais, en réalité, une telle différence n’existe pas. Nous admettons le genre méditerranéen Trachynia comme genre monotype. Il faut mentionner que ceux qui réunissent le T. distachya au genre Brachypodium indiquent injustement, jusqu’à présent, Roemer et Scl\ultes comme auteurs de la combinaison B. d i s t a c h y u m, parce qu'elle a été faite par Palisot de Beauvoîs 5 ans auparavant. Eig (Fi. Palaest. exsicc., n° 22) est le premier qui a remarqué cette circonstance et a rétabli la vérité. * Nevski. Montes méridionales; Kopet- dag. In Paliureto in loco, Bogundar haud procul ab urhe Kara-kala. 1931. V. 28 fr. subm^. ^|^|^g|^^^|^^j^:Leg. Popov.
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